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Une nouvelle fois les prudes de ce pays auront eu gain de cause, "il ne faut point légiferer sur l'euthanasie". Tout sera affaire de tact, et de débranchement aux heures creuses. Mais ne le pourrait-on pas sur l'euthérapie ? Soigner les gens sans les intoxiquer était le principe acquis, semble-t'il par tous, même par des chemins différents. Aujourd'hui les gens sont "intoxiqués" avant l' heure d'arriver chez nous, simples praticiens. Intoxinés, intoxifiés par la terreur. La nature implacable, tel un Saddam Insane, aurait instillé EN nous ( cholesterol, virus C, serotonine ou préparé AUTOUR de nous ( UVA, UVB, canicule ) , tous les élements néfastes contre lesquels l'industrie toute puissante, la coalition des bien -soignants aurait déjà fourbi ses armes... A nous les David Kelly, et à Prescrire, le seul soin de décoder, de décrypter, et de dire que les seules armes chimiques potentiellement mortelles sont du coté des "libérateurs", et non du coté des simples "vindicateurs" de mort.
Un médecin qui laisse tomber sa claque, ou sa plaque, est l'indice fiable d'une démission qui se prépare en masse.
Rendre à chacun de nous les moyens de prescrire ou de s'abstenir de prescrire sous influence est un combat, non point pour permettre à nos successeurs de reprendre là où nous avons laissé, mais simplement pour esperer qu'il y ait des successeurs.
Les sites internet de précommande des médecines "obligées" sont déjà prêts, sous l'emplacement encore chaud des plaques que l'on descelle.
Dr Bruno Lopez - Fonsorbes
